L’émotion n’est plus seulement véhiculée par le scénario, Jacques Exertier confirme que le gameplay du jeu a lui aussi été construit autour de l’émotion. Les nombreuses interactions entre Pey’j et le joueur tout au long du jeu rendent ainsi la capture et l’absence de Pey’j plus forte et crée un manque !
En vrac, on apprend que la scène du phare détruit fait partie des premières scènes enregistrées, ou encore que les premiers niveaux du jeu ont été créés vers la fin du développement.
Xavier Poix, le directeur du studio d’Ubisoft Montpellier, révèle que Beyond Good & Evil 2 pourrait coûter environs 20 million d'euros soit deux fois plus que le premier épisode.
Si vous souhaitez découvrir l'intégralité de l'entretien de Jacques Exertier dans un ton très France Culture, rendez vous sur les pages suivantes :
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Et oui, Beyond Good & Evil est plus que jamais de retour dans l'actu ! Et ça c’est bien !